C'est la troisième fois que le constructeur de Concarneau, exposera sur ce salon, qui ouvre ses portes demain pour 4 jours, dans le port de la Grande Motte.

Suite à la mise à l’eau le 31 mars dernier du Long Island 85’, le premier bateau de la gamme de catamarans semi-custom (lire notre article), JFA confirme ses ambitions sur le marché des voiliers multicoques de luxe.

Rappelons que le premier catamaran de JFA a été livré en 2004.

Il s'agissait alors d'un 85 pieds qui a réalisé une circumnavigation en 4 ans. Ce catamaran renommé Rose of Jericho, s’apprête désormais à partir pour un second tour du monde. 

Livré en 2012, Mousetrap, catamaran unique de 110’ construit en carbone est le plus grand catamaran de croisière en composites du monde.

Actuellement en construction, le Long Island 100’ est quant à lui conçu pour naviguer loin dans le plus grand confort. Les catamarans Long Island offrent une disposition innovante avec leur cabine armateur au niveau de la nacelle avec une vue panoramique et un accès privatif vers le filet avant. 

Le Salon Du Multicoque est donc un rendez-vous d'importance pour JFA Yachts qui entend s'affirmer comme un acteur incontournable du Superyacht à 2 coques.

=> autres articles sur JFA Yachts
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C'est le conseil que l'on ne peut que donner, suite à la mésaventure arrivée à un commandant français de yacht.

Car pour Charles Friedrich, 52 ans, commandant du Solea, cette décision prise en août 2012 sur ordre de son armateur vient de se conclure par près.... d'un an de prison ferme !!

Actuellement en France, l'officier ne peut quasimet plus naviguer en Méditerranée, du fait des accords d'extradition existant entre l'Algérie , l'Italie, la Tunisie, l'Espagne et le Maroc !!

Inculpé dans un premier temps de trafic de carburant, Charles Friedrich est condamné à 3 ans de prison par le tribunal de Sidi M’Hamed, un jugement vite cassé en appel.

Une décision de justice qui ne semble pas avoir plu au procureur local, qui a immédiatement lancé une nouvelle procédure, sous un autre motif, à savoir une infraction à la législation... sur les changes ! Avec plus de succès cette fois-ci, puisque Charles Friedrich vient d'être condamné à un an de prison ferme, avec comme seul espoir un pourvoi en cassation !!

Quant au Solea, un yacht d'exploration de 36 mètres de long, il est bloqué depuis près de deux ans dans le port d'Alger, alors qu'il n'est ni moyen, ni objet du délit !  

Les armateurs apprécieront donc le risque qu'ils font prendre à leur yacht, en faisant escale dans la capitale algérienne...

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Un voilier d'une grande élégance, idéal pour le week-end.

Pour le chantier néerlandais Saffier Maritiem, le Day Boat est avant tout un week-end boat, ou week-ender, comme le démontre avec brio le Saffier 33, un voilier de 9.60m de long, dont les aménagements intérieurs se déclinent en 3 versions : 4 couchettes, 2 couchettes plus cabinet de toilette ou 2 couchettes avant avec salle d'eau et carré !

De quoi satisfaire donc des utilisateurs désirant rester à bord le temps d'un week-end de régate ou d'une belle ballade côtière.

Des utilisateurs qui pourront être fiers de leur monture, la ligne du Saffier étant particulièrement réussie, qui surprendra plus d'un connaisseur avec ses deux barres à roue, malgré une largeur relativement étroite !

Aussi par sa grande plage arrière protégée par un tableau basculant, qui trahit bien son origine batave, un arrière fermé étant bien adapté à la Mer du Nord et à la Baltique.

Généreusement toilé, doté d'un tirant d'eau de 1.40m et d'un lest de 1.1 tonne, le Saffier 33 peut être lesté à 1.70m si tel est le souhait du client. 

De quoi aller vite... le temps d'un week-end !!

=> autres articles sur le chantier Saffier Maritiem
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Fiche technique ActuNautique.com du Saffier 33 

• Longueur totale avec bout dehors - 10 meter
• Longueur - 9,60 meter
• Longueur à la flottaison - 8.50 meter
• Largeur - 2,72 meter
• Tirant d'eau standard - 1,40 meter
• Poids total - 2.800 kg
• Lest - 1100 kg
• Grand Voile - 27 m2
• Jib -18 m2
• Code zero - 40 m2
• Genaker - 70 m2
• Construction - sand. verre / PVC
• Architecte - Dean Hennevanger
• Prix indicatif - 118 800 euros

Le chantier Multiplast débute le refit profond de ce catamaran mythique, qui deviendra Vitalia II, pour l'industriel et marin François Bich.

Orange II est un catamaran mythique que l'on ne présente plus : ce bateau, mené par Bruno Peyron, a détenu le Trophée Jules Verne (record du tour du Monde à la voile en équipage) en 50 jours, 16 heures et 20 minutes de 2005 à 2010.

Il a aussi été le plus rapide sur l'Atlantique Nord, la Méditerranée et sur 24 heures (766.8 miles soit 31.95 noeuds de moyenne). C'est d'ailleurs avec beaucoup d'émotion que Bruno Peyron en parle sur ActuNautique :"Je suis fier de cette histoire de conquête, fier de ce bateau qui m'a offert mon 3ème Trophée Jules Verne, fier de mes compagnons avec lesquels nous avons passé tant d'heures et de nuits magiques autour du monde mais je suis heureux que François Bich et le chantier Multiplast aient l'audace d'entamer une transformation aussi radicale et ambitieuse. Elle marquera probablement un tournant dans l'évolution des maxi catamarans de grande croisière et ...J'aime l'audace !"

Conçu par le Gilles Ollier Design Team et construit par le chantier Multiplast, Orange II, long de 36 m, est donc une merveilleuse machine à gagner !! Un statut qui ne pouvait interesser qu'un passionné expérimenté pour s'attaquer à son refit : François Bich.

=> autres articles sur Multiplast

François Bich débute sur le bateau familial dessiné par M.André Mauric. Il acquiert ensuite une expérience sur dériveurs (Ponant et 505). Dès 1965, il navigue sur le 12 m JI Sovereign utilisé pendant l'été en tant que bateau familial. Il dédiera ensuite 4 années de sa jeunesse à la préparation de la Coupe de l'America et sera incorporé au bataillon de Joinville au titre de l'entrainement pour cette épreuve. En 1970 et 1974 il participera à Newport, sur France à la Coupe de l'America. Passionné de multicoques, du Hobie Cat au Formule 40, François Bich est l'un des rares amateurs de beaux bateaux capables de donner une deuxième vie à Orange II.

Une fois le refit terminé, il sait qu'il bénéficiera en effet d'un bateau exceptionnel... pour faire le tour du monde !!

Dans le cadre de ce chantier, Jack Michal, Franck Martin et Yann Penfornis, trois des architectes ayant participé à la conception initiale du catamaran au côté de Gilles Oliier, ont ressorti les plans et les notes de calculs pour élaborer les modifications du bateau.

L'objectif étant de le transformer en yacht de croisière (très) rapide sans perdre l'ADN du bateau de course. Ainsi une nacelle profilée de 70 m² sera greffée derrière la poutre de mât. Six cabines seront aménagées dans les coques accueillant 3 couples d'invités et un équipage de 5 personnes. D'un point de vue technique, malgré la forte volonté et de nombreuses démarches du nouveau propriétaire pour naviguer sous le pavillon français, cette transformation ne sera possible qu'en optant pour une réglementation britannique plus adaptée et moins contraignante.

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Les éditions Vue sur Mer Maroc, lancent le premier guide des navigateurs, de Saïdia à Dakhla

Le Maroc est aussi une mer d’accueil, méditerranéenne et atlantique. Une double côte aux charmes bien spécifiques. La première est ciselée de criques et de plages, dominée par le superbe massif du Rif.

C’est la Med’ dans toute sa splendeur. Depuis quelques années, hôtels, stations balnéaires et marinas bien équipées et sécurisées, accueillent dans d’excellentes conditions les plaisanciers et les touristes de tous horizons. D’est en ouest, de Saïdia à Tanger, bientôt le plus grand port de plaisance du pays, les marinas assurent havre tranquille, ressourcement et réparations, si besoin. 

Elles sont le point de départ de superbes balades alentour. Passé Gibraltar, la côte Atlantique se déroule plein sud. Si les amateurs de campingcar, la longent par la route depuis longtemps, elle s’ouvre aussi aux navigateurs grâce à ses ports d’attaches, yacht clubs et marinas de haute tenue. Du nord au sud, c’est Rabat la capitale, Mohammédia la sportive, Casa la futuriste, El Jadida la typique, Essaouira la charmeuse, Agadir la perle… Et puis, l’aventure si tentante, l’appel de Dakhla la saharienne, entre lagon et désert. 

Aux plaisanciers en quête d’escales belles et sûres, aux marins désireux d’ailleurs, aux touristes amoureux de la mer, cet “autre Maroc” offre des destinations inoubliables. A leur intention, le magazine Vue sur Mer lance Cap sur le Maroc, un guide inédit de 200 pages, avec photos et textes exclusifs.

Accès et conditions d’amarrage aux escales, visites et histoire locale, événements nautiques, rencontres… il est un compagnon de navigation et de plaisir indispensable à la découverte des côtes marocaines.

Lionel Péan, à bord du VOR 70 SFS, a disputé la 49ème édition de la SNIM en catégorie IRC 1, organisée par la Société Nautique de Marseille, qui avait lieu du 18 au 21 avril.

La SNIM 2014 a été une grande source d’enseignement et de satisfactions pour SFS et son équipage. Le Team aux couleurs de l'intermédiaire en assurances qui est resté en configuration Volvo Ocean Race pour cette épreuve, a malheureusement été très pénalisé par le handicap IRC.

=> autres articles sur la SNIM
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Lionel Péan a ainsi déclaré sur ActuNautique.com : "Pour la régate, nous avons été servis avec un grand parcours côtier de 53nm, 6 parcours banane... et un mini côtier. Pas de casse, une bonne progression dans la cohésion de l’équipe, une analyse systématique des paramètres pour prendre les décisions techniques qui s’imposent » précise Lionel Péan. Le VOR 70 SFS pointe à la 19e place au classement général de sa catégorie IRC 1. « Nous sommes encore loin de l’optimisation sur l’eau du fonctionnement du bateau. C’est dur pour l’équipage, c’est très physique. C’est difficile pour l’équipe à l’avant, rude pour l’équipe dans le cockpit. Les manœuvres sont compliquées, il faut se coordonner, on a encore beaucoup de travail à faire. Les 4 journées de course ont été très différentes ! Le premier jour, du bon temps médium ou nous sommes allés virer devant la Ciotat avec un retour magnifique au coucher du soleil devant les calanques de Marseille et Maïre. Du grandiose ! Le deuxième jour, nous avons affronté 30 à 35 nds de Mistral et fait des surfs à plus de 25 nds, un peu courts sur les petits parcours banane (régates en aller retour face et dos au vent) en rade nord. Les deux derniers jours, le vent est tombé et nous avons enchaîné de nombreuses bananes. La cohésion de l’équipage pro-am a été très bonne et une grande partie de l’équipe sera reconduite pour la prochaine épreuve SFS, la Giraglia Rolex Cup (9 au 13 juin 2014). Nous avons fait naviguer chaque jour de nombreux invités des réseaux de SFS et des journalistes. Je pense que tous sont repartis des étoiles plein les yeux".

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photo -  Pierick Jeannoutot

Haropa est en effet présent sur le salon Seafood 2014 à Bruxelles.

Premier centre français pour l’importation de produits frigorifiques (reefer), HAROPA sera présent sur le salon SEAFOOD qui se tiendra du 6 au 8 mai à Bruxelles. L’occasion pour les trois ports de l’axe Seine – Le Havre, Rouen et Paris- de présenter aux professionnels des produits de la mer, la qualité de leur offre en matière d’import-export de produits froids et congelés.

Avec près de 200 000 conteneurs maritimes reefer (secteur agroalimentaire) traités en 2013, HAROPA est devenu l’une des plateformes incontournables pour le trafic de marchandises sous température dirigée. Tout au long de l’axe Seine, lesprofessionnels du froid, du transport international et de la logistique proposent une gamme de servicescompétitifs et durables. Leur savoir-faire fait d'HAROPA le 1er centre français pour l’importation de produits reefer.

HAROPA dispose à ce jour de 500 000 m3 de capacité d’entreposage en température positive (de 0° à 15°) ou négative (jusqu’à -26°).

Son parc froid – véritable zone logistique dédiée au stockage sous température contrôlée -, intègre en un point unique les centres de contrôle vétérinaire, phytosanitaire et douanier ; situé à proximité des terminaux à conteneurs du port du Havre, ce parc est connecté à toute l’Europe et offre près de 20 ha de réserves foncières pour la construction de volumes de stockage supplémentaires.

Le port français met en avant des avantages de cout très importants par rapport à Rotterdam. L'importation d'un conteneur de viande de 20 tonnes via rotterdam reviendrait pratiquement à 4 fois fois le cout de celle via Haropa Le Havre (380 vs 100, coût -base 100 - du passage en PIF d’un conteneur de 40’).

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Les 3 premiers bateaux dans un mouchoir de poche : 19 milles à peine sépare le premier du troisème, sachant qu'il sont à 800 milles de l'arrivée à Saint Barth !

La liste des aspirants à la victoire diminue au même rythme que le nombre de milles vers le port de Gustavia. Un tiercé a émergé au cœur de l’alizé. Au centre Skipper Macif, nouveau leader au classement de 16 heures et son principal rival Safran-Guy Cotten. Au nord : Generali. Ces trois bateaux menés par la jeune génération de coureurs au large sont lancés dans un (long) sprint final de 96 heures. A leurs trousses, La Cornouaille et 30 Corsaires, rêvent de podium.

Vue de la terre, sur la cartographie, Skipper Macif et Safran-Guy Cotten ont l’air sacrément bien placés pour nous offrir un dernier round, bord à bord, devant la ligne d’arrivée.  « Je ne me dis pas que je vais gagner la transat, mais que nous pouvons le faire » lâche timidement Gwenolé Gahinet contacté ce matin. Plus pragmatique, son rival Fabien Delahaye s’en tient aux faits : « Notre concurrent direct, c’est Safran-Guy Cotten. On leur a repris pas mal de milles ces derniers jours.  Mais ce sera compliqué sur la fin, car la partie nord du plan d’eau (à proximité des îles de l’arc antillais) est peu alimentée en vent ». Dans cette histoire, Generali joue à quitte ou double. Leur position nord ne sera peut-être pas tenable très longtemps. Pour Nicolas Lunven et Eric Peron, ce sera sans doute la victoire ou rien.

Calés dans le sillage de Safran-Guy Cotten, Martin le Pape et Roland Jourdain (La Cornouaille) jouent clairement la troisième place, sans chercher à se démarquer stratégiquement. Une place également enviée par le double mixte de 30 Corsaires dont l’heure est peut-être venue dans le sud.

A 9/10 nœuds de moyenne, tout ce beau monde poursuit sa progression à coup d’empannages en direction de l’arc antillais. Mais dans quelques heures, les bateaux seront calés sur un seul bord, tribord amure, pour aborder les 800 derniers milles de course. Il reste encore 4 jours de mer. 96 heures. Ce long sprint final sera éprouvant. Et tout peut arriver, comme le rappelle la mésaventure survenue hier à Scutum.

Depuis qu’ils naviguent dans l’alizé, les marins redoutent l’arrivée du crépuscule. L’absence de lune, les nombreux grains, les rafales à plus de 30 nœuds et les vagues désordonnées rendent les navigations nocturnes un peu infernales à la barre des Figaro. L’exercice est tellement éreintant pour les barreurs, que les pilotes automatiques sont mis à contribution. Dans ces nuits d’encre, l’homme de quart a la sensation de foncer en aveugle sur une piste de bosses. Pour Scutum, handicapé par un safran bâbord transformé en moignon, c’est pire encore. Coincé sur un bord (tribord), le bateau part au tas dès qu’il n’est plus à plat. « C’est hyper stressant confie Gerald Veniard. Je fais mes quarts de barre avec le dos complètement bloqué, la boule au ventre. »

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Classement de la Transat AG2R au 24 Avril à 16h00

1. Skipper Macif - Fabien Delahaye - Yoann Richomme - 819,14 millles de l'arrivée
2. Generali- Nicolas Lunven - Eric Peron - 820,81 - 1,67 mille du premier
3. Safran - Guy Cotten - Gwenolé Gahinet - Paul Meilhat - 824,24 - 5,10*
4. La Cornouaille - Roland Jourdain - Martin Le Pape - 838,69 - 19,55
5. Scutum - Gérald Veniard - Jeanne Grégoire - 865,53 - 46,39
6. 30 Corsaires - Alexia Barrier - Laurent Pellecuer - 883,62 - 64,48
7. Entreprendre en Cornouaille - Simon Troel - Ronan Treussart - 935,15 - 116,01
8. Made in Midi
9. Gwenael Gbick - Kito De Pavant - 1064,49 - 245,35
10. Interface Concept - Jean Le Cam - Gildas Mahé - 1111,59 - 292,45
11. Lorientreprendre - Yannig Livory - Guillaume Farsy - 1115,09 - 295,95
12. Guadeloupe Grand Large 2 - Nicolas Thomas - Francois Guibourdin - 1143,51 - 324,37
13. Bretagne - Crédit Mutuel Performance - Corentin Horeau - Michel Desjoyeaux - 1223,65 - 404,51
14. Guadeloupe Grand Large 1 - Mathieu Forbin - Arthur Prat - 1412,52 - 593,38

Abandons

• Cercle Vert - Gildas Morvan - Dalin Charlie
• Gedimat - Thierry Chabagny - Erwan Tabarly

photo - A Courcoux

Accident rarissime mais assez impressionnant !

Le 3 avril dernier, un accident rarissime est survenu sur le canal de Panama.

Une porte conteneur en approche de l'une des écluses du canal, a dévié de sa trajectoire pour écraser une petite locomotive appelée "mule".

Un navire en approche de l'une des écluses du canal se dirige dans un premier temps vers le mur de guidage avant d'être pris en remorque par les mules de ce mur.

Pendant la phase d'approche de l'écluse, d'autres amarres sont prises par les mules situées de l'autre côté du canal. en face. Le nombre de mules utilisées dépend du rtonnage du navire. Sur les plus importantes unités, ce nombre peut monter jusqu'à 8 !!

Les mules ne servent pas à faire avancer les navires, mais à les guider latéralement, puisque l'espace libre de chaque côté du navire, dans l'écluse est de 60 centimètres à peine !!

L'accident survenu début avril et qui n'a pas fait de victime, montre un problème de guidage, le navire ayant ripé sur tribord...

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Le Chantier Naval girondin vient de mettre à l’eau une unité de 22 mètres qui partira pour le Yémen au mois de juillet, une seconde unité sera mise à l’eau le 28 avril prochain.

Le Plascoa 2200 Fast Patrol, tel est son nom, sera utilisé par les Coast Guards pour assurer des missions de surveillance côtières de 48H/48 en mer.

Lors de l'appel d'offres initial, ce modèle a su faire la différence grâce à sa fiabilité et à son excellente carène qui avaient dejà séduit les douanes françaises, un véritable plus pour un marché rendu plus difficile, du fait de normes drastiques imposées pour une homologation de classe « haute mer ».

Les conditions climatiques du Yémen (températures > 35°C ; humidité > 80%) donnent à elles seules une idée des contraintes techniques auxquelles il a fallu faire face pour assurer la fiabilité des équipements, la ventilation de la salle des machines, la climatisation et la protection incendie, le tout, sans amoindrir les performances.

Avec cette livraison, Couach conforte sa position sur le marché des bateaux professionnels et auprès d’un client fidèle, déjà acquéreur par le passé de quatre patrouilleurs Plascoa de 15 mètres.

Rappelons que Couach est l’un des rares chantiers européens à disposer de la double compétence en bateaux composites : conception et construction à la fois de bateaux professionnels à haute valeur technologique (gamme PLASCOA) et de yachts haut de gamme pour la plaisance (gamme Yachts COUACH). Les Yachts COUACH bénéficient ainsi directement de la qualité de construction et du haut niveau technologique développé pour les patrouilleurs.

=> Autres articles sur le chantier naval Couach
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Fiche technique ActuNautique du patrouilleur Plascoa Fast Patrol 2200

• LONGUEUR HORS-TOUT / 22m / 72’
• LARGEUR HORS TOUT / 5,60m / 18,4’
• TIRANT D’EAU / 1,35m / 4,4’
• CARBURANT / 2 x 3500L
• VITESSE MAXIMUM / 28 nœuds avec 2 x 1200 CV
• AUTONOMIE EN VITESSE DE CROISIÈRE / > 600Nm@15 nœuds
• ARCHITECTURE NAVALE / Chantier Naval Couach
• CLASSE / BV

Le Radeau de la Méduse est toujours d'actualité, nous l'avons retrouvé !! 

Il y a des moments ou les solutions les plus éculées sont toujours d'actualité, malgré toute la technologie et la technicité qui nous entourent.

En Alaska, par exemple, quand il faut faire traverser une rivière à un gros Ford Explorer et qu'il n'y a ni pont, ni barge, quelques rondins assemblés et hop, le tour est joué !!

une barque alu dotée d'un bloc hors-bord comme remorqueur et vogue... la galère ??

Etonnant, non ?

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La Sailing World Cup de Hyères vient de s’achever pour les séries paralympiques avec un total de 10 manches courues.

Damien Seguin rate d’un cheveu une huitième victoire sur l’épreuve en 2.4 puisqu’il termine à un point du premier, l’Allemand, Heiko Kroger.

Les deux skippers se sont à tour de rôle partagé la vedette en tête du classement tout au long de cette semaine. Au final, un seul petit point sépare les deux concurrents qui, même en ce dernier jour de course ont bien eu du mal à se quitter. « Je gagne la première manche avec 1 mètre d’avance sur lui et il gagne la deuxième manche avec un mètre d’avance sur moi. C’était un beau match » explique Damien à l’arrivée. Un résultat très satisfaisant pour le septuple vainqueur de l’épreuve qui - rappelons le - faisait à Hyères son retour à la compétition en 2.4. La dernière fois c’était en août 2013. La Britannique Megan Pascoe complète le podium.  

Damien Seguin déclare à cette occasion sur ActuNautique.com : "Tout au long de ce championnat, ça été un coup devant, un coup derrière  avec l’Allemand. On savait que ça allait se jouer sur les deux manches du jour. Il avait un point d’avance ce matin. Je gagne la première manche avec 1 mètre d’avance sur lui et il gagne la deuxième manche avec un mètre d’avance sur moi. C’était un beau match, un beau championnat bien disputé. Je suis content parce que c’était mon retour à la compétition depuis le mois d’août l’année dernière. J’avais des choses à tester que nous avions développées cet hiver et qui finalement s’avèrent bien donc ça va dans le bon sens. Je suis vraiment satisfait du résultat".

Classement Séries paralympiques après 10 manches :

1. GER Heiko Kroger – 16 pts

2. FRA Damien Seguin – 17 pts

3. GBR Megan Pascoe – 20 pts

photo -  Franck Socha / Yvan Zedda

Dramatique accident survenu lors d'une ballade au bord de l'océan.

Le 25 avril 2014, vers 11h40, le Cross Corsen a été alerté par un témoin que deux personnes étaient tombées à la mer à la pointe de la Torche, sur le commune de Penmarc’h.

Les victimes étaient un homme de 41 ans et sa fille de 15 ans. L’Atlantique 2 ayant reçu un MAYDAY, s’est dérouté immédiatement sur zone pour entreprendre les recherches. Le CROSS Corsen a quant à lui dépêché l’hélicoptère Dragon 29 de la sécurité civile basé à Pluguffan, une vedette de la SNSM et des pompiers.

A 12h08, la jeune fille a été retrouvée dans un état grave, avant d'être hélitreuillée et évacuée vers l’hôpital de Quimper. Les recherches se poursuivent depuis pour retrouver son père.

Plusieurs moyens nautiques sont engagés dans ces recherches : le Dragon 29, trois BSL (bateau de sauvetage léger) des pompiers, une vedette SNSM, une vedette de la gendarmerie et des plongeurs.

La partie Nord de la pointe de la Torche a été ratissée, la dégradation des conditions météo n’a pas permis le ratissage de la partie Sud.

Vers 19h00, les moyens nautiques ont suspendu les recherches compte tenu des conditions météo. Des équipes terrestres des pompiers et de la gendarmerie ont longé la falaise et fouillé les rochers profitant de la marée basse (21h00).

Les recherches terrestres sont également suspendues vers 22h00, les conditions météo ne permettant plus de les poursuivre.

Il semble que les père se soit jeté à l'eau pour sauver sa fille, emportée par une vague devant lui. 

Ce matin à 10h15 (heure locale, soit 16h15 heure française), le vainqueur de la 12e édition de la Transat AG2R La Mondiale devrait couper la ligne d’arrivée à Gustavia.

Suivront six bateaux en douze heures ! Après 3 890 milles de régate au large à couteaux tirés, force est de constater que les écarts sont infimes à l’échelle d’une traversée de l’Atlantique. Safran-Guy Cotten continue de creuser les milles devant son adversaire Skipper Macif. La troisième place, elle, reste plus que jamais disputée entre 30 Corsaires et La Cornouaille, séparés d’un petit mille au classement de 5 h ce matin.

Préparez-vous à une journée bien occupée ! Les 7 premiers de la 12e édition de la Transat AG2R LA MONDIALE devraient arriver à Saint-Barthélemy entre 10h15 heure locale (soir 16h15 heure française) et 23 h (5 h heure française). Safran-Guy Cotten mène toujours la danse d’un groupe de quatre Figaro, diablement pressés de poser pied à terre après 22 jours de course. A la nuit tombée, les équipages ont doublé la Guadeloupe, cap sur Saint-Barth en laissant Antigua à tribord. Seul Generali, toujours plus au nord que les leaders devrait passer au-dessus. 

Safran-Guy Cotten garde une marge de près de 8 milles sur Skipper Macif. De quoi toucher la victoire du bout des doigts. La troisième marche du podium reste cependant âprement disputée entre 30 Corsaires et La Cornouaille. « On va passer près des îles et il peu y avoir des dévents. Il faut prendre les choses dans le bon ordre. On ne peut pas trop dire ce qu’il va se passer, il va y avoir un choix sur le passage de l’ile d’Antigua : soit on la laisse à tribord ou à bâbord en fonction des dévents. Nous attendons le dénouement d’ici 20 milles » expliquait Martin Le Pape ce matin à la vacation de 5 h. Les heures à venir risquent d’être décisives pour les deux outsiders de la course. Le podium de la 12ème Transat AG2R LA MONDIALE défie tous les paris qui ont été faits à Concarneau…

« Normalement, Michel Desjoyeaux va passer devant et puis après on verra. Nous, on a une ligne directe, nous sommes en tribord. Tout passe par le Sud. Mich’ est vraiment revenu. Aujourd’hui,  il a fait une journée incroyable. » expliquait Jean Le Cam ce matin. Après les sept premiers, la nuit de mardi à mercredi devrait être animée à Gustavia. Guadeloupe Grand Large 2 (François Guibourdin et Nicolas Thomas) puis les trois vieux briscards (Made in Midi, Interface Concept et Bretagne-Credit Mutuel) devraient toucher terre en plein milieu de la nuit (heure locale). Ces trois-là bataillent encore pour la dixième place. Michel Desjoyeaux et Corentin Horeau semblent les mieux placés…

=> suivre la Transat AG2R La Mondiale sur ActuNautique
=> toute l'actualité de courses au large et régates 

Classement de la Transat AG2R au 28/04/2014 A 5h00

1. Safran - Guy Cotten - Gwenolé Gahinet - Paul Meilhat - 111,48 milles de l'arrivée
2. Skipper Macif - Fabien Delahaye - Yoann Richomme - 118,94 - 7,46 milles du premier
3. 30 Corsaires - Alexia Barrier - Laurent Pellecuer - 123,62 - 12,15
4. La Cornouaille - Roland Jourdain - Martin Le Pape - 124,64 - 13,16
5. Generali - Nicolas Lunven - Eric Peron - 155,63 - 44,15
6. Scutum - Gérald Veniard - Jeanne Grégoire - 205,95 - 94,48
7. Entreprendre en Cornouaille - Simon Troel - Ronan Treussart - 227,56 - 116,08
8. Lorientreprendre - Yannig Livory - Guillaume Farsy - 408,72 - 297,24
9. Guadeloupe Grand Large 2 - Nicolas Thomas - Francois Guibourdin - 436,05 - 324,57
10. Made in Midi - Gwenael Gbick - Kito De Pavant - 462,49 - 351,01
11. Interface Concept - Jean Le Cam - Gildas Mahé - 493,94 - 382,46
12. Bretagne - Crédit Mutuel Performance - Corentin Horeau - Michel Desjoyeaux - 495,00 - 383,52
13. Guadeloupe Grand Large 1 - Mathieu Forbin - Arthur Prat - 763,57 - 652,09

Abandons

• Cercle Vert - Gildas Morvan - Dalin Charlie
• Gedimat - Thierry Chabagny - Erwan Tabarly

 photo - A Courcoux

Le Sunreef 92 Double Deck renforce le positionnement du contructeur polonais sur le marché des superyachts multicoques.

Leader mondial des yachts catamarans de grande taille, le bureau d'études de chez Sunreef a développé un projet plus innovant que jamais, en reprenant et en optimisant le concept original du catamaran Sunreef Double Deck lancé en 2009, avec un roof beaucoup plus large et spacieux qui occupe l'intégralité de la largeur.

Le noucveau Sunreef 92 Double Deck offre près de 430 m² d'espace habitable (!), soit deux fois plus que le Sunreef 82 Double Deck présenté en 2012 !!

L'élargissement du roof apporte un plus grand confort aux propriétaires et améliore la capacité d'accueil des invités pour une croisière de luxe. Ce yacht sera amménagé pour recevoir confortablement 12 invités en préservant au maximum l'intimité de chacun grâce à l'accès indépendant du quartier d'équipage.

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La suite armateur située à l'avant du bateau comblera assurément les exigences et les désirs du propriétaire. La totalité de l'espace habitable a été conçue sur deux niveaux avec une magnifique vue panoramique. Cette suite très chic qui comprend un lit king size, un coin détente avec canapé et fauteuils et un espace bureau, est réalisée sur mesure en utilisant les revêtements les plus élégants et des matériaux très précieux. Elle dispose également d'un vaste dressing, d'une salle de bain spacieuse avec doubles vasques et douche. Le pont principal offre un très beau salon de 54 m² avec une cuisine à babord (pouvant être située dans la coque à la demande du propriétaire) et une mezzanine incluant le poste de navigation intérieur à tribord.

Les cabines invités sont situées dans les coques, elles sont toutes équipées de confortables lits king size, de vastes penderies avec rangements et de salles de bains avec douches. Par ailleurs, chaque cabine possède son propre système audio – video et le réglage individuel de la climatisation. Il est possible d'installer sur demande une salle de sport et un luxueux sauna dans la coque babord.

Le cockpit de 65 m² comprend quant à lui, un espace détente avec table de repas et banquette. L'immense pont supérieur équipé du poste de pilotage principal, comprend un superbe coin repas pour 12 convives, des bains de soleil et un bar avec barbecue pour le plus grand plaisir des invités. Il y a aussi un coffre spécialement conçu pour le rangement de l'annexe et du jet ski dissimulé sous la surface bains de soleil du cockpit pour les passionnés de sports nautiques.

Le Sunreef 92 Double Deck sera construit en matériaux composites légers et high-tech utilisés par le chantier depuis 2007 et mis en oeuvre avec succès sur tous les yachts et les espars également fabriqués par le chantier.

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Fiche technique ActuNautique.com du Sunreef 92 Double Deck

• Longueur hors tout: 28 m / 92 ft
• Bau maximum: 14 m / 46 ft
• Tirant d'eau: 2,50 m / 8 ft
• Longueur du mât: 37 m / 121 ft
• Motorisation: 2 x 355 CVlink
• Capacité de carburant: 2 x 4000 L
• Capacité d'eau douce: 2 x 780 L
• Grand voile: 240 m² / 2 583 ft²
• Génois: 180 m² / 1937 ft²
• Gennaker: 280 m² / 3014 ft²
• Surface habitable: 429 m² / 4618 ft²
• Pont principal: 100 m² / 1076 ft²
• Salon: 53 m² / 570 ft²
• Cabine armateur: 47 m² / 506 ft²
• Flybridge: 90 m² / 969 ft²
• Cockpit: 65 m² / 699 ft²
• Architecte naval: Sunreef Yachts
• Design intérieur: Sunreef Yachts

Gwénolé Gahinet et Paul Meilhat viennent de passer la ligne d'arrivée après un parcours quasiment sans faute !

Gwénolé Gahinet et Paul Meilhat à bord de Safran-Guy Cotten ont franchi en tête la ligne d'arrivée de la 12e édition de la Transat AG2R LA MONDIALE à 19 h 17min 59s (heure française) à Gustavia, Saint-Barthélemy.

Leur temps de course est de 22 j 6 h 17 min 59 s. Leur vitesse moyenne sur le parcours théorique de 3 890 milles depuis Concarneau a été de 7.28 nœuds. Ils ont parcouru 4 670 milles sur l'eau à la vitesse moyenne de 8.74 nœuds. Gwénolé Gahinet, dont c'est la première participation, fait ainsi une superbe entrée sur le circuit Figaro. Paul Meilhat, un des ténors de la classe, signe ici sa première victoire en transat. Grâce à une trajectoire très tendue, une bonne vitesse et des choix stratégiques judicieux, les deux hommes, dont c'était la première association, ont brillamment dominé leurs 12 concurrents.

Poussés par une petite brise de 12 nœuds, sous un soleil de plomb et sur une eau turquoise, Gwénolé Gahinet à la barre et Paul Meilhat ont coupé la ligne d'arrivée dans le port de Gustavia après avoir plusieurs fois viré de bord. Les deux marins barbus et en chemise points levés en signe de victoire affichaient des mines réjouies, deux sourires hilares qui en disaient long sur leur satisfaction d'avoir remporté cette transat en double. Dans un tonnerre de cornes de brume et d'applaudissements, Gwénolé et Paul ont été accueillis comme il se doit par la foule massée sur les quais et les bateaux au mouillage.

Dans cette transat en double à armes égales, marquée par le passage d'un front froid la première nuit (démâtage de Cercle Vert), une descente musclée le long des côtes portugaises, et un choix stratégique crucial entre une route Nord ou Sud pour rejoindre l'arc Antillais, le tandem Gahinet/Meilhat a toujours été dans les bons coups. Avec de surcroît des trajectoires parfaites et une vitesse indécente sur tout le parcours, Safran-Guy Cotten a parfaitement mené sa course. Dès le passage des Canaries, sur la route sud, Skipper Macif devient son principal rival. Leur duel dans les alizés va durer 11 jours. 11 jours à naviguer de concert et parfois à vue. Gahinet/Meilhat reprendront l'avantage la nuit du 25 au 26 avril en creusant progressivement l'écart sur leur rival.

C'était la troisième participation de Paul Meilhat à la Transat AG2R LA MONDIALE. Marin expérimenté, il a su apporter son savoir-faire au bizuth Gwénolé Gahinet. Le fils de Gilles Gahinet (double vainqueur et 5 podiums sur la Solitaire du Figaro dans les années 70-80) n'en était pas à sa première transatlantique en course : victoire en 2011 sur la Mini-Transat (série). Un tandem complémentaire, qui au fil de cette 12e édition de la Transat AG2R LA MONDIALE, s'est montré diabolique pour ses adversaires !

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Il y a 24 ans, était lancé le CIP de Bordeaux. Un échec qui conduit aujourd'hui la capitale de l'Aquitaine à se débarraser des 15 derniers bateaux restant à la base sous-marine.

En 1990 était lancé le Conservatoire International de la Plaisance de Bordeaux, un concept mélant musée et centre de recherche, qui était à l'époque le plus grand conservatoire mondial de bateaux de plaisance.

Sensé devenir l'un des pôles touristiques majeurs de l'agglomération, le CIP n'a cependant pas réussi à atteindre cet objectif, malgré les 120 bateaux à un moment présents dans les cellules de l'ancienne base sous-marine. vite déserté par les visiteurs, il a donc fermé ses portes 7 ans plus tard, sur un amer constat d'échec.

Faut-il y voir une malédiction qui frappe cet endroit - lugubre - dont personne ne sait quoi faire, et dont la démolition est quasiment impossible ?

Toujours est-il que de ce projet lancé en grande pompe et qui se présentait sur le papier comme passionnant, il ne reste plus aujourd'hui une quinzaine de bateaux, pour la plupart réduits à l'état d'épaves, qui pourrissent depuis des années, quand ils n'ont tout simplement pas sombré.

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Une situaton qui a conduit la ville de Bordeaux à les mettre en vente, en un lot, afin de s'en débarraser, dans l'espoir de trouver un repreneur qui saura quoi en faire. Et pourquoi pas relancer le concept, sous une forme plus pertinente ?

Car parmi les bateaux mis en vente, certains sont exceptionnels, comme Vendredi 13, le mythique voilier la transat Plymouth-Newport en 1972, devenu un voilier de luxe et qui végète sur le parking de la base, dans l'attente d'un hypothétique avenir radieux.

Parmi les noms des éventuels repreneurs intéressés, circule celui du promoteur bordelais Norbert Fradin, grand collectionneur de bateaux devant l'éternel, très impliqué dans le futur musée de la marine de Bordeaux, qui devrait ouvrir aux Bassins à Flots. 

Un sauveur inespéré ? Seul l'avenir pourra le dire, le processus de vente venant de débuter...

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Une vidéo tournée par les équipes de la Marine Nationale.

Dimanche 27 avril 2014, vers 22h00, le paquebot MSC Magnifica de la compagnie helvetico-italienne MSC Croisières, a contacté le Cross Gris-Nez pour une urgence médicale concernant un croisiériste âgé de 79 ans.

Le Cross a aussitôt organisé une conférence téléphonique avec le MSC Magnifica, le Centre de consultation médicale maritime de Toulouse et le SAMU de coordination médicale maritime (Le Havre). Les médecins ont confirmé la nécessité d'évacuer le passager rapidement vers un centre hospitalier.

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Le Cross a ainsi fait appel à l'hélicoptère Dauphin de la Marine nationale, basé au Touquet, qui a embarqué une équipe médicale du SMUR de Boulogne-sur-Mer. Cette dernière est arrivée à bord du navire de croisière à 23h15 afin de préparer le transfert par hélicoptère.

L'homme a été confié au Centre hospitalier de Boulogne-sur-Mer à 00h20.

Le MSC Magnifica est un paquebot de croisière de 293 mètres battant pavillon panaméen. Au moment de l'incident, il avait quitté Le Havre et se dirigeait vers Zeebrugge (Belgique).

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La Dongfeng Race Team, l’équipe chinoise de la Volvo Ocean Race en 2014-2015, a choisi deux Jeanneau Sun Fast 3200 pour entrainer ses navigateurs.

Le directeur de l’équipe, Bruno Dubois, rappelle l’objectif initial de ce choix sur ActuNautique.com : "Nos priorités sont le recrutement et l’entraînement des navigateurs chinois. C’est très clairement notre plus gros défi – concentrer en tout juste 10 mois les années d’expérience des autres équipages qui concourent dans la Volvo Ocean Race".

Pour réussir ce pari, le Team Dongfeng a donc décidé de sélectionner les candidats... en situation de course !!

Avec à leur actif de prestigieuses courses telles que les Jeux Olympiques, l’America’s Cup, les séries Extrêmes 40 et la Clipper Race, huit navigateurs chinois s’affrontent désormais sur deux Sun Fast 3200 pour prouver leur aptitude et leur motivation à participer à la Volvo Ocean Race, une des courses les plus renommées au monde. 

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La sélection a débuté avec une course de 350 milles nautiques de Hong-Kong à Sanya avec quatre équipes, dont un cameraman et un coach 

Bien que les courses inshore soient de plus en plus nombreuses le long des côtes chinoises, il reste un long chemin à parcourir avant d’emmener la Chine sur la scène internationale des courses au large. La campagne Dongfeng pour la Volvo Ocean Race est un grand pas en avant, puisqu’elle a pour but de mener un nombre important de marins chinois au plus haut niveau.

La recherche de l’excellence et de l’amélioration constante est en parfaite adéquation avec l’esprit de la gamme Sun Fast. Bénéficiant des dernières innovations en matière d’infusion pour assurer résistance et légèreté, le Sun Fast est un bateau ludique et polyvalent parfaitement adapté tant aux parcours inshore qu’aux courses au large, en solitaire comme en équipage. C’est par conséquent l’entrainement idéal et la plateforme parfaite pour la Dongfeng Race. Team.

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Le chantier Poncin Yachts faisait l'actualité lors du dernier Salon International du Multicoque !

Après des années de restructuration et de réorganisation, puis une mauvaise surprise fiscale relative à la cession d'Harmony Yachts, ayant entraîné une perte sur l'exercice 2013, pas initialement prévue, du fait de la loi de finance rectificative du 16 août 2012, le chantier Poncin Yachts semble enfin sortir la tête de sous l'eau.

La société dirigée par Olivier Poncin fait feu de tout bois et affiche un dynamisme certain, sur un marché non moins dynamique, celui des catamarans de croisière.

Le 23 avril dernier, l'industriel a ainsi fait deux annonces marquantes.

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Tout d'abord le changement de dénomination sociale du chantier, qui va prendre la nom de sa marque de catamarans de haut de gamme, Catana, ce qui semble assez logique pour permettre à la société de renforcer la notoriété de cette dernière, notamment auprès de la communuté financière, la société étant côtée en bourse.

Ensuite, le lancement d'une nouvelle marque, Bali, à la consonnance internationale, positionnée sous Catana, et qui deviendra l'offre d'entrée de gamme du chantier.

En bref, une marque destinée à faire du volume - une soixantaine d'unités par an, contre 30 Catana - et à amortir des coûts fixes, mais aussi à aller chatouiller la concurrence, sur un marché dont le dynamisme ne faiblit pas.

C'est à Cannes que le chantier dévoilera le premier Bali, à savoir un 45 pieds, dont Olivier Poncin précise qu'il ne s'agira pas d'un modèle low cost. Un modèle qui ne sera pas construit sur le site de Canet en Roussillon, déjà bien occupé à produire les Catana classiques, mais dans l'usine Harmony Yachts, à Marans...

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